La Luxopuncture est une technologie d'acupuncture sans aiguille particulièrement efficace pour le traitement d'un grand nombre, d’addictions en particulier : la nourriture, le tabac ou la boisson.

 

Généralement, ce type d'addiction est causée par des déséquilibres hormonaux. Leur traitement est difficile car il s'agit de supprimer le dépendance physique et le syndrôme du manque qui se manifeste au bout de quelques jours, à la fois physique et psychique. Ces difficultés sont à la source de rechutes qui émoussent la motivation et décourage trop souvent tous ceux qui souhaitent combattre leurs addictions.

 

Une hormone : la dopamine est un neurotransmetteur de nos désirs. Lorsqu'elle est noramlement sécrétée, nos besoins sont satisfaits normalement. Mais si un déséquilibre hormonal existe, un comportement compulsif peut être observé. Par exemple, en matière d'alimentation, des habitudes de grignottage excessif pour des apports de sucres et de graisse. Ces compulsions viennent également très souvent combler, par l'état de bien-être éphémère, un besoin irrépressible lié à un surcroît d'anxiété.

 

Face à l'absorption de nicotine, le système hormonal se déséquilibre. Une dépendance à la cigarette se crée et arrêter de fumer devient particulièrement difficile sans une aide extérieure. La cure Luxomed de sevrage tabagique aide à diminuer les compulsions et l’envie de fumer de la personne qui a la motivation pour arrêter de fumer mais qui n'y arrive pas seul ou avec d'autres moyens.

 

Dans un premier temps, Luxomed fait cesser le besoin irrépréssible de fumer puis elle va gérer les effets du sevrage tabagique en calmant le manque, en soignant les méfaits du tabac et de la fumée (irritations, problèmes ORL...). Ainsi, fumer devient désagréable et agit comme un repoussoir pour conserver la motivation de l'arrêt du tabac.

 

La cure d’arrêt du tabac se déroule généralement en 7 séances (parfois 8 ou 10), (dont 5 obligatoires et les 2 dernières à la demande) étalées sur 3 semaines. Les deux premières séances sont espacées dans l'idéal de 48h puis on pratique une ou 2 séances par semaine.

 

Concrètement, la prise en charge Luxo se déroule en 3 étapes :

• Une phase de sevrage, pour l'arrêt de la consommation du toxique, en 3 à 5 séances à raison d'une séance de 30 min par jour, dès le premier rendez-vous. Elle aidera le fumeur à arrêter sa consommation, sans effet de frustration, d'irritabilité ou de manque et surtout sans prise de poids.
• Une phase de traitement de la dépendance psychique : il s’agit de diminuer réellement l'envie de fumer et le manque lié à l’arrêt du tabac, la nervosité, l'irritabilité et l’excès d'appétit lié au sevrage. Des fiches d'auto-massage en digitopuncture pour gérer les compulsions passagères sont proposées.
• Une phase de suivi d’une durée de 3 mois pour éviter la rechute.

 

L’objectif est donc de libérer le sujet de la dépendance en diminuant l'anxiété et les compulsions. Parallèlement à l'envie d'une moindre de consommation, l'absence de cette consommation ne sera plus physiologiquement insurmontable. Si l'envie de consommer à nouveau devient pressante, une séance est effectuée. Pour un traitement définitif, on conseille un suivi sur un an pour éviter toute rechute et conserver entière la motivation de départ. Kallisty bien être propose des forfaits adaptés au traitement de chaque adiction.

 

Selon les habitudes de chacun et compte tenu des progrès personnels, les points de traitement pourront évoluer et varier au cours des séances afin d'optimiser les résultats et personnaliser efficacement le traitement.

 

Le traitement est destiné à tout fumeur, quelque soit la quantité consommée par jour. L'envie d'arrêter de fumer étant la garantie d'un résultat sûr. La cure étant sur 3 à 5 jours consécutifs, il faut éviter de l’interrompre. A noter : certaines mutuelles complémentaires remboursent une partie des soins pour le sevrage tabagique.

 

Selon des études récentes, après 3 à 5 séances de Luxomed plus de 90% des sujets renoncent complètement aux cigarettes pendant la phase de sevrage. Ils sont encore 60% d’abstinents un an après le sevrage et 50% après 4 ans. Par ailleurs, de nombreux cas de sevrages de tranquillisants et somnifères sont également rapportés.

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